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Yassir Zenagui, Nous a vons approchĂ© d’autres fonds souverains en Chine...
actuel n°119, vendredi 2 décembre 2011
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Les Ă©lĂ©ments du puzzle commencent Ă  se mettre en place. AprĂšs la stratĂ©gie et la banque de projets, le financement. JugĂ© trop ambitieuse, voire irrĂ©aliste par certains opĂ©rateurs, la Vision 2020 est dĂ©sormais sur les rails.

DĂ©tails du montage de Wessal Capital.


Alors que le gouvernement sortant fait ses cartons, Yassir Zenagui, ministre rniste du Tourisme et de l’Artisanat, affiche une sĂ©rĂ©nitĂ© Ă  toute Ă©preuve. Surprenant au regard du camouflet que vient de subir son parti. En rĂ©alitĂ©, le projet qui lui tient Ă  cƓur, et pour lequel il a Ă©tĂ© appelĂ© de Londres, est mis sur les rails « avec le soutien de la plus haute autoritĂ© de l’Etat ».

Pas de souci Ă  se faire sur le devenir du fonds souverain Wessal Capital puisqu’il sera gĂ©rĂ© de maniĂšre « indĂ©pendante »  malgrĂ© la prĂ©sence de deniers publics. En effet, Wessal Capital est dotĂ© d’une mise de dĂ©part de 23 milliards de dirhams dont 15 milliards Ă©manant du Fonds marocain de dĂ©veloppement touristique (FMDT).

Ce dernier Ă©tant lui-mĂȘme codĂ©tenu par l’Etat et le Fonds Hassan II pour le dĂ©veloppement Ă©conomique et social. A une tout autre Ă©chelle, le choix de crĂ©er un fonds indĂ©pendant qui logerait les recettes de privatisations, Ă  l’arrivĂ©e du PJD aux affaires, rappelle Ă©trangement celui qui avait Ă©tĂ© retenu en 2000 lors de la crĂ©ation du Fonds Hassan II pour y affecter les recettes des cessions de la deuxiĂšme licence tĂ©lĂ©coms et de Maroc Telecom en vue de financer des projets d’infrastructure
 au nez et Ă  la barbe du gouvernement El Youssoufi. Mais lĂ  s’arrĂȘte la comparaison.

Le montage de Wessal Capital s’avĂšre ĂȘtre beaucoup plus sophistiquĂ©. De plus, la prĂ©sence des trois fonds arabes les plus prisĂ©s au monde, constitue un signal fort qui devrait provoquer un effet boule de neige auprĂšs d’autres institutionnels.

En tout cas, Yassir Zenagui, le ministre sortant du Tourisme et de l’Artisanat, croit dur comme fer Ă  la pĂ©rennitĂ© du modĂšle de financement construit autour de Special Private Vehicules (SPV).

Au point d’imaginer la duplication du modĂšle Ă  d’autres secteurs, et en cas de besoin, des levĂ©es de fonds sur le marchĂ© international, Ă  des conditions optimales. Ce n’est pas le prochain gouvernement qui s’en plaindrait.

 

Deux ans Ă  la tĂȘte de ce ministĂšre, que lĂ©guez-vous Ă  votre successeur ?

La Vision 2020 a crĂ©Ă© une nouvelle impulsion du secteur du tourisme. C’est une stratĂ©gie « multi-plans » axĂ©e, entre autres, sur le dĂ©veloppement durable, le tourisme balnĂ©aire, culturel, sportif, de santĂ©, de bien-ĂȘtre. Six programmes structurants permettront la concrĂ©tisation de cette stratĂ©gie.

C’est donc un nouveau concept de programme global, unique, qui a Ă©tĂ© mis sur pied pour chacune des 8 rĂ©gions touristiques identifiĂ©es. DĂšs la premiĂšre annĂ©e, aprĂšs l’élaboration de la Vision 2020, plusieurs projets ont Ă©tĂ© lancĂ©s, comme la restructuration financiĂšre du plan Azur qui a permis de relancer les stations les plus importantes telles que Taghazout et SaĂŻdia, ou encore la crĂ©ation du fonds d’investissement pour la rĂ©habilitation des ksours et kasbahs.

De mĂȘme, le projet M’Dinti, Ă  travers des circuits d’interprĂ©tation et des activitĂ©s culturelles et d’animation, va permettre aux mĂ©dinas de devenir un produit touristique fort. Citons aussi le projet de restructuration des Ă©coles de formation touristique, notamment l’ISITT de Tanger, le projet Club Biladi, qui va offrir aux Marocains une sĂ©rie de clubs touristiques pourvus d’animations.

Il y a aussi des projets de petite taille mais qui ont une grande importance pour le secteur du tourisme, comme la mise en place de kiosques d’information touristique. Les premiers kiosques sont dĂ©jĂ  installĂ©s Ă  Agadir. ParallĂšlement, l’image du Maroc a Ă©tĂ© solidement renforcĂ©e via des actions marketing menĂ©es dans plusieurs pays et par notre prĂ©sence continue dans les plus grandes manifestations internationales touristiques et d’investissement.

L’objectif ultime de la Vision 2020 est de positionner le Maroc parmi les vingt premiĂšres destinations au monde. Cette vision a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©e avec beaucoup de rigueur sur le plan Ă©conomique, avec des business plan prĂ©cis, ce qui nous a permis de dĂ©finir trĂšs clairement les objectifs Ă  atteindre. L’élaboration de cette stratĂ©gie ambitieuse, je tiens Ă  le dire, a Ă©tĂ© rendue possible grĂące aux hautes orientations et au soutien de Sa MajestĂ©.

 

L’implication royale suppose donc une continuitĂ©, quelle que soit l’équipe gouvernementale


Nous avons la chance d’avoir une monarchie qui garantit la pĂ©rennitĂ© et la continuitĂ© des stratĂ©gies sectorielles gouvernementales. C’est le cas de la Vision 2020, qui n’est pas la stratĂ©gie d’un ministre ou d’un gouvernement en particulier, mais celle d’un pays car elle l’engage sur le long terme.

Ce serait un gĂąchis que de ne pas la mener Ă  son terme. Au Maroc, le secteur du tourisme recĂšle d’énormes potentiels de crĂ©ation de richesses. C’est un des moyens les plus importants dont nous disposons pour stimuler le dĂ©veloppement socioĂ©conomique dans toutes les rĂ©gions. La place du secteur est majeure dans la stratĂ©gie de dĂ©veloppement de notre pays.

 

Reste le problĂšme du financement. Comment un pays comme le Maroc peut-il lever des fonds en temps de crise ?

La Vision 2020 est certes ambitieuse, mais réaliste. Elle veille surtout à bénéficier, au maximum, aux populations locales. Dans une conjoncture mondiale difficile, les modÚles classiques de financement sont révolus.

Il fallait de nouvelles idĂ©es, de l’innovation, pour garantir le financement de ces projets. Le grand dĂ©fi consistait Ă  mettre en place une structuration qui permette de pallier les obstacles liĂ©s Ă  la rĂ©alisation de produits Ă  faible rentabilitĂ©, comme les parcs d’animation ou les musĂ©es ; Ă  la gestion des partenariats avec les institutions internationales, et notamment anglo-saxonnes ; et Ă  l’accĂšs au financement en pĂ©riode de crise
 En intĂ©grant tous ces Ă©lĂ©ments, Wessal Capital a Ă©tĂ© conçu en constituant un portefeuille structurĂ© autour de plusieurs projets Ă  rentabilitĂ© diffĂ©rente, mais complĂ©mentaires.

Cette structuration n’a pas comme unique objectif d’attirer des fonds, mais aussi de jouer le rĂŽle d’un catalyseur de l’investissement en ouvrant des possibilitĂ©s de partenariat avec le secteur privĂ© national et international. Cet Ă©lan a Ă©tĂ© initiĂ© et fortement soutenu par notre souverain, qui a suivi de prĂšs toutes les Ă©tapes de l’élaboration du fonds Wessal Capital et les tractations qui l’ont rendu possible.

 

Hormis les fonds arabes, quels sont les fonds qui ont manifestĂ© leur intĂ©rĂȘt ?

A ce jour, ce montage financier a intéressé plusieurs institutions financiÚres, dont Qatar Holding LLC, Kuwait Investment Authority et Aabar Investments PJS, qui figurent parmi les fonds souverains les plus puissants du monde et les plus sollicités.

L’engagement de ces fonds souverains, par la prĂ©sence des dirigeants qatari, Ă©mirati et koweĂŻtien lors de la signature du mĂ©morandum d’entente n’est pas seulement un engagement Ă©conomique mais aussi un acte politique qui confirme la confiance dans la stabilitĂ© de notre pays et dans la politique Ă©conomique et les rĂ©formes menĂ©es.

C’est Ă©galement un signal fort adressĂ© Ă  d’autres fonds que nous avons dĂ©marchĂ©s et qui pourraient rejoindre Wessal Capital. Il s’agit notamment de fonds souverains en Chine, en Malaisie, Ă  Singapour et Ă  Brunei, mais aussi des fonds institutionnels et des fonds financiers de banques internationales.

 

Cela suppose une nouvelle approche du rĂŽle de l’Etat. Sommes-nous prĂȘts Ă  une telle mutation ?

Dans un contexte de raretĂ© des ressources, il est important que le rĂŽle de l’Etat ne se limite pas au sponsoring budgĂ©taire et qu’il adopte aussi une dĂ©marche d’investisseur avec des exigences de rentabilitĂ©.

Dans cet esprit, le fonds souverain sera un outil pour fructifier les capitaux publics qui pourraient  Ă©maner des recettes de privatisation par exemple. L’idĂ©e est de rĂ©investir ces recettes dans des fonds souverains sectoriels pour crĂ©er davantage de richesses. Ceci nous permettra aussi d’avoir une meilleure planification de notre stratĂ©gie de privatisation.

 

Wessal Capital ne ringardise-t-il pas le Fonds Hassan II qui avait pour objet d’optimiser l’utilisation des recettes de privatisation ?

Absolument pas. Preuve en est, le Fonds Hassan II a contribuĂ© Ă  la crĂ©ation du FMDT. De plus, sa mission va bien au-delĂ  de l’aspect financement de projets puisqu’elle est aussi d’ordre social.

 

Que vont devenir les multiples fonds privĂ©s dĂ©diĂ©s au tourisme, crĂ©Ă©s par les banques et compagnies d’assurance ?

Il est temps de favoriser leur fusion pour crĂ©er des fonds privĂ©s dotĂ©s d’une taille critique et ayant une rĂ©elle force de frappe, ce qui leur permettra de contribuer de façon cohĂ©rente et efficace, aux cĂŽtĂ©s de Wessal Capital, au dĂ©veloppement du secteur. L’idĂ©e a Ă©tĂ© proposĂ©e aux responsables de ces diffĂ©rents fonds. Ils l’ont accueillie avec beaucoup d’enthousiasme.

Propos recueillis par Mouna Kably

Wessal Capital, un fonds indépendant


La structure est indépendante. Autrement dit, elle ne relÚve ni du ministÚre du Tourisme ni de la Primature. Elle est présidée par un Marocain, une marque de confiance supplémentaire. Les rumeurs parlent tout naturellement de Yassir Zenagui. Mais il ne le confirmera pas


A structure moderne, mode de gouvernance moderne : Wessal Capital est dotĂ© d’un directoire composĂ© des investisseurs actuels et Ă  venir. C’est au directoire que revient la dĂ©cision de valider les projets Ă  financer, avec le concours d’experts nationaux et internationaux.

Le premier Conseil d’administration se tiendra dans les semaines Ă  venir pour valider le budget de fonctionnement et le recrutement de l’équipe. Le premier closing a Ă©tĂ© fixĂ© Ă  700 millions de dollars pour chacun des quatre actionnaires. Il sera augmentĂ©, par la suite, par les mĂȘmes actionnaires et aussi par de nouveaux entrants.

Pour chaque programme, un Special Private Vehicule (SPV) sera crĂ©Ă© pour investir dans les projets. Le premier SPV est dotĂ© d’un capital de 300 millions de dollars. AprĂšs le feu vert du directoire, trois premiers projets seront financĂ©s, avant la montĂ©e en charge. Avantage de taille : chaque SPV peut regrouper l’ensemble ou une partie des actionnaires de Wessal Capital. Cette flexibilitĂ© permet de limiter les risques de blocage d’un projet par un ou plusieurs partenaires.

M.K.

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