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actuel n°149, vendredi 6 juillet 2012
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Dans l’eau, sur l’eau, sur terre, sur sable, sur piste, en l’air et même dans votre tête, voici comment profiter des vacances dans l’un des plus beaux et des plus amusants terrains de jeu du monde : le Maroc.


 

C’est le grand rush estival, le compte à rebours avant le Ramadan. Les boîtes refusent du monde, Casablanca et Rabat se vident pour embouteiller Dar Bouazza et Skhirat, les plages sont aussi bondées qu’une cellule à Oukacha... C’est donc ça les vacances ? A vous de voir.

Si vous êtes un adepte moutonnier de l’instinct grégaire, vous serez ravi par cet été raccourci. Mais si vous avez quelques velléités de profiter de la saison des chaleurs pour explorer de nouvelles sensations, suivez le guide.

Nous vivons dans le paradis des vagues et des rouleaux, alors apprenez à tenir debout sur une planche plutôt que de la faire. La planche. Vous en avez encore sous le plancher ? Pétaradez dans l’écume, juché sur des skis à moteur. Vous préférez le plancher des vaches ? On peut aussi faire de la voile sur le sable...

Le monde entier vient admirer nos paysages. Faites comme eux mais en mieux, visitez le Maroc par les airs. L’année fut stressante et vous avez des envies de meurtre ? Plutôt qu’assassiner votre patron, allez donc barbouiller votre grand frère en jouant à la guerre avec des billes de peinture dans les forêts du littoral. De tempérament plutôt pacifique ? Transformez-vous donc en lotus face à l’Atlantique. Ou tentez le kayak dans les paysages majestueux de l’Atlas.

Mais si vraiment vous voulez faire comme tout le monde, ne sortez pas n’importe où. On a aussi sélectionné des adresses pour faire la fête en évitant les coups de soleil... comme les coups de bambou !

Slimane Ammor

 

MĂ©ditez au chaud ou Ă  la plage

Y a qu’à se mettre au yoga !

 

Faire des ascèses spirituelles l’été, quoi de mieux pour balayer d’un coup le smog de stress, d’anxiété et d’hyperactivité qui pollue notre vie. Aujourd’hui, les centres de yoga se multiplient au Maroc.

 

Du yoga caliente !

Des mouvements frêles et langoureux évoluent au rythme des esprits et des corps en sueur… On se croirait sur une piste de danse de tango, mais non ! Il s’agit d’un type de yoga très spécial. En effet, le bikram yoga (ou le yoga chaud) ne comprend que 26 positions et deux exercices de respiration. Il est pratiqué durant 90 minutes dans des salles chauffées à 40,6 degrés (ni plus ni moins selon le maître de yoga bikram Choudhury). De Milan à Bogota en passant par Ottawa, le yoga chaud fait un tabac. A Casablanca, c’est Nabil Scalli, professeur de yoga, qui a importé le concept en créant Yoga Bikram, l’endroit le plus en vue de la capitale économique. Les prix sont relativement abordables. Le cours à la carte coûte 150 DH, et 350 DH par mois pour un abonnement de six mois, et seulement 275 DH par mois pour une année de détente. Pour ceux qui cherchent leur réconfort spirituel perdu dans le chaos urbain de Casablanca, Yoga Bikram est le parfait endroit.

 

19, rue de la Fontaine. Casablanca

www.bikramyoga.ma

 

Pieds dans l’eau, tête au septième ciel

Niché dans une oasis paradisiaque de trois hectares au bord de la mer, tout près de Taghazout dans les environs d’Agadir, le Paradis Plage est le premier surf, yoga & spa resort au Maroc. Il propose une formule inédite où aventure et bien-être ne font qu’un. ça en fait l’endroit rêvé pour une immersion totale dans la nature du Souss. Pour les besoins de la cause, le Paradis Plage a aménagé, selon les normes de la pratique du yoga, deux pavillons perchés sur une dune face à la mer, cernés par un spacieux bassin de lotus. Nico Shanti, le professeur de yoga résident du resort propose trois formules : le hatha yoga, une pratique qui repose sur la respiration, le yin yoga dérivé du hatha yoga, et le vinyasa qui consiste en la synchronisation des mouvements avec la respiration. En parallèle, des retraites et stages sont organisés sous la direction de Jax May, célèbre maître yoga et animateur de sites de retraite Formentera Yoga implantés entre Ibiza et Formentera. Autre pilier du Paradis Plage et pas des moindres, le surf. Les néophytes comme les rois de la glisse sur vague y trouvent leur bonheur.

Kaouthar Oudrhiri

Km 26, route d’Essaouira

Immi Ouaddar Agadir

www.paradisplage.com

 

Apprenez tango, aquarelle...

Casa Del Arte, une oasis pour les arts

Ceux qui connaissent ce coin béni de Casablanca ne peuvent plus s’y soustraire. Il suffit, en effet, d’aller une seule fois à Casa Del Arte, goûter aux plaisirs de ses milonga le samedi soir pour attraper le virus du tango ou de la salsa. Ce petit « îlot », situé dans le quartier Oasis, est un centre culturel pluridisciplinaire géré par le couple Dominique Langlois et Adam El Mahfoudi. A Casa Del Arte, on peut s’essayer à la danse, à la sculpture, au théâtre ou à l’aquarelle.

La particularitĂ© de ce centre culturel, c’est d’abord la qualitĂ© de son accueil, ensuite la magie du lieu et enfin sa programmation Ă©clectique. Les propriĂ©taires et gĂ©rants programment tout au long de l’annĂ©e, et Ă©galement en Ă©tĂ©, des stages artistiques. En juillet, le hip-hop est Ă  l’honneur ainsi que la danse africaine, des stages d’une semaine y sont programmĂ©s. Pour les enfants de quatre Ă  douze ans, des stages d’arts plastiques, de danse, de théâtre et de sculpture sont prĂ©vus. Alors, profitez de l’étĂ© pour abreuver vos penchants artistiques ! Stages pour enfants : 1 050 DH/semaine (850 DH/semaine pour les adhĂ©rents).  Horaires : du lundi au vendredi, de 10h00 Ă  16h30 (accueil Ă  partir de 9h00).

Stages de danse : de 17h à 19h du lundi au vendredi. 1 000 DH (800 DH pour les adhérents).

Amira-GĂ©hanne Khalfallah

 

Pour toute information : info@casadelarte.ma

Dans l’eau, sur l’eau, sur terre, sur sable, sur piste, en l’air et même dans votre tête, voici comment profiter des vacances dans l’un des plus beaux et des plus amusants terrains de jeu du monde : le Maroc.


 

C’est le grand rush estival, le compte à rebours avant le Ramadan. Les boîtes refusent du monde, Casablanca et Rabat se vident pour embouteiller Dar Bouazza et Skhirat, les plages sont aussi bondées qu’une cellule à Oukacha... C’est donc ça les vacances ? A vous de voir.

Si vous êtes un adepte moutonnier de l’instinct grégaire, vous serez ravi par cet été raccourci. Mais si vous avez quelques velléités de profiter de la saison des chaleurs pour explorer de nouvelles sensations, suivez le guide.

Nous vivons dans le paradis des vagues et des rouleaux, alors apprenez à tenir debout sur une planche plutôt que de la faire. La planche. Vous en avez encore sous le plancher ? Pétaradez dans l’écume, juché sur des skis à moteur. Vous préférez le plancher des vaches ? On peut aussi faire de la voile sur le sable...

Le monde entier vient admirer nos paysages. Faites comme eux mais en mieux, visitez le Maroc par les airs. L’année fut stressante et vous avez des envies de meurtre ? Plutôt qu’assassiner votre patron, allez donc barbouiller votre grand frère en jouant à la guerre avec des billes de peinture dans les forêts du littoral. De tempérament plutôt pacifique ? Transformez-vous donc en lotus face à l’Atlantique. Ou tentez le kayak dans les paysages majestueux de l’Atlas.

Mais si vraiment vous voulez faire comme tout le monde, ne sortez pas n’importe où. On a aussi sélectionné des adresses pour faire la fête en évitant les coups de soleil... comme les coups de bambou !

Slimane Ammor

 

MĂ©ditez au chaud ou Ă  la plage

Y a qu’à se mettre au yoga !

 

Faire des ascèses spirituelles l’été, quoi de mieux pour balayer d’un coup le smog de stress, d’anxiété et d’hyperactivité qui pollue notre vie. Aujourd’hui, les centres de yoga se multiplient au Maroc.

 

Du yoga caliente !

Des mouvements frêles et langoureux évoluent au rythme des esprits et des corps en sueur… On se croirait sur une piste de danse de tango, mais non ! Il s’agit d’un type de yoga très spécial. En effet, le bikram yoga (ou le yoga chaud) ne comprend que 26 positions et deux exercices de respiration. Il est pratiqué durant 90 minutes dans des salles chauffées à 40,6 degrés (ni plus ni moins selon le maître de yoga bikram Choudhury). De Milan à Bogota en passant par Ottawa, le yoga chaud fait un tabac. A Casablanca, c’est Nabil Scalli, professeur de yoga, qui a importé le concept en créant Yoga Bikram, l’endroit le plus en vue de la capitale économique. Les prix sont relativement abordables. Le cours à la carte coûte 150 DH, et 350 DH par mois pour un abonnement de six mois, et seulement 275 DH par mois pour une année de détente. Pour ceux qui cherchent leur réconfort spirituel perdu dans le chaos urbain de Casablanca, Yoga Bikram est le parfait endroit.

 

19, rue de la Fontaine. Casablanca

www.bikramyoga.ma

 

Pieds dans l’eau, tête au septième ciel

Niché dans une oasis paradisiaque de trois hectares au bord de la mer, tout près de Taghazout dans les environs d’Agadir, le Paradis Plage est le premier surf, yoga & spa resort au Maroc. Il propose une formule inédite où aventure et bien-être ne font qu’un. ça en fait l’endroit rêvé pour une immersion totale dans la nature du Souss. Pour les besoins de la cause, le Paradis Plage a aménagé, selon les normes de la pratique du yoga, deux pavillons perchés sur une dune face à la mer, cernés par un spacieux bassin de lotus. Nico Shanti, le professeur de yoga résident du resort propose trois formules : le hatha yoga, une pratique qui repose sur la respiration, le yin yoga dérivé du hatha yoga, et le vinyasa qui consiste en la synchronisation des mouvements avec la respiration. En parallèle, des retraites et stages sont organisés sous la direction de Jax May, célèbre maître yoga et animateur de sites de retraite Formentera Yoga implantés entre Ibiza et Formentera. Autre pilier du Paradis Plage et pas des moindres, le surf. Les néophytes comme les rois de la glisse sur vague y trouvent leur bonheur.

Kaouthar Oudrhiri

Km 26, route d’Essaouira

Immi Ouaddar Agadir

www.paradisplage.com

 

Apprenez tango, aquarelle...

Casa Del Arte, une oasis pour les arts

Ceux qui connaissent ce coin béni de Casablanca ne peuvent plus s’y soustraire. Il suffit, en effet, d’aller une seule fois à Casa Del Arte, goûter aux plaisirs de ses milonga le samedi soir pour attraper le virus du tango ou de la salsa. Ce petit « îlot », situé dans le quartier Oasis, est un centre culturel pluridisciplinaire géré par le couple Dominique Langlois et Adam El Mahfoudi. A Casa Del Arte, on peut s’essayer à la danse, à la sculpture, au théâtre ou à l’aquarelle.

La particularitĂ© de ce centre culturel, c’est d’abord la qualitĂ© de son accueil, ensuite la magie du lieu et enfin sa programmation Ă©clectique. Les propriĂ©taires et gĂ©rants programment tout au long de l’annĂ©e, et Ă©galement en Ă©tĂ©, des stages artistiques. En juillet, le hip-hop est Ă  l’honneur ainsi que la danse africaine, des stages d’une semaine y sont programmĂ©s. Pour les enfants de quatre Ă  douze ans, des stages d’arts plastiques, de danse, de théâtre et de sculpture sont prĂ©vus. Alors, profitez de l’étĂ© pour abreuver vos penchants artistiques ! Stages pour enfants : 1 050 DH/semaine (850 DH/semaine pour les adhĂ©rents).  Horaires : du lundi au vendredi, de 10h00 Ă  16h30 (accueil Ă  partir de 9h00).

Stages de danse : de 17h à 19h du lundi au vendredi. 1 000 DH (800 DH pour les adhérents).

Amira-GĂ©hanne Khalfallah

 

Pour toute information : info@casadelarte.ma

p>Dans l’eau, sur l’eau, sur terre, sur sable, sur piste, en l’air et même dans votre tête, voici comment profiter des vacances dans l’un des plus beaux et des plus amusants terrains de jeu du monde : le Maroc.

 


 

C’est le grand rush estival, le compte à rebours avant le Ramadan. Les boîtes refusent du monde, Casablanca et Rabat se vident pour embouteiller Dar Bouazza et Skhirat, les plages sont aussi bondées qu’une cellule à Oukacha... C’est donc ça les vacances ? A vous de voir.

Si vous êtes un adepte moutonnier de l’instinct grégaire, vous serez ravi par cet été raccourci. Mais si vous avez quelques velléités de profiter de la saison des chaleurs pour explorer de nouvelles sensations, suivez le guide.

Nous vivons dans le paradis des vagues et des rouleaux, alors apprenez à tenir debout sur une planche plutôt que de la faire. La planche. Vous en avez encore sous le plancher ? Pétaradez dans l’écume, juché sur des skis à moteur. Vous préférez le plancher des vaches ? On peut aussi faire de la voile sur le sable...

Le monde entier vient admirer nos paysages. Faites comme eux mais en mieux, visitez le Maroc par les airs. L’année fut stressante et vous avez des envies de meurtre ? Plutôt qu’assassiner votre patron, allez donc barbouiller votre grand frère en jouant à la guerre avec des billes de peinture dans les forêts du littoral. De tempérament plutôt pacifique ? Transformez-vous donc en lotus face à l’Atlantique. Ou tentez le kayak dans les paysages majestueux de l’Atlas.

Mais si vraiment vous voulez faire comme tout le monde, ne sortez pas n’importe où. On a aussi sélectionné des adresses pour faire la fête en évitant les coups de soleil... comme les coups de bambou !

Slimane Ammor

 

MĂ©ditez au chaud ou Ă  la plage

Y a qu’à se mettre au yoga !

 

Faire des ascèses spirituelles l’été, quoi de mieux pour balayer d’un coup le smog de stress, d’anxiété et d’hyperactivité qui pollue notre vie. Aujourd’hui, les centres de yoga se multiplient au Maroc.

 

Du yoga caliente !

Des mouvements frêles et langoureux évoluent au rythme des esprits et des corps en sueur… On se croirait sur une piste de danse de tango, mais non ! Il s’agit d’un type de yoga très spécial. En effet, le bikram yoga (ou le yoga chaud) ne comprend que 26 positions et deux exercices de respiration. Il est pratiqué durant 90 minutes dans des salles chauffées à 40,6 degrés (ni plus ni moins selon le maître de yoga bikram Choudhury). De Milan à Bogota en passant par Ottawa, le yoga chaud fait un tabac. A Casablanca, c’est Nabil Scalli, professeur de yoga, qui a importé le concept en créant Yoga Bikram, l’endroit le plus en vue de la capitale économique. Les prix sont relativement abordables. Le cours à la carte coûte 150 DH, et 350 DH par mois pour un abonnement de six mois, et seulement 275 DH par mois pour une année de détente. Pour ceux qui cherchent leur réconfort spirituel perdu dans le chaos urbain de Casablanca, Yoga Bikram est le parfait endroit.

 

19, rue de la Fontaine. Casablanca

www.bikramyoga.ma

 

Pieds dans l’eau, tête au septième ciel

Niché dans une oasis paradisiaque de trois hectares au bord de la mer, tout près de Taghazout dans les environs d’Agadir, le Paradis Plage est le premier surf, yoga & spa resort au Maroc. Il propose une formule inédite où aventure et bien-être ne font qu’un. ça en fait l’endroit rêvé pour une immersion totale dans la nature du Souss. Pour les besoins de la cause, le Paradis Plage a aménagé, selon les normes de la pratique du yoga, deux pavillons perchés sur une dune face à la mer, cernés par un spacieux bassin de lotus. Nico Shanti, le professeur de yoga résident du resort propose trois formules : le hatha yoga, une pratique qui repose sur la respiration, le yin yoga dérivé du hatha yoga, et le vinyasa qui consiste en la synchronisation des mouvements avec la respiration. En parallèle, des retraites et stages sont organisés sous la direction de Jax May, célèbre maître yoga et animateur de sites de retraite Formentera Yoga implantés entre Ibiza et Formentera. Autre pilier du Paradis Plage et pas des moindres, le surf. Les néophytes comme les rois de la glisse sur vague y trouvent leur bonheur.

Kaouthar Oudrhiri

Km 26, route d’Essaouira

Immi Ouaddar Agadir

www.paradisplage.com

 

Apprenez tango, aquarelle...

Casa Del Arte, une oasis pour les arts

Ceux qui connaissent ce coin béni de Casablanca ne peuvent plus s’y soustraire. Il suffit, en effet, d’aller une seule fois à Casa Del Arte, goûter aux plaisirs de ses milonga le samedi soir pour attraper le virus du tango ou de la salsa. Ce petit « îlot », situé dans le quartier Oasis, est un centre culturel pluridisciplinaire géré par le couple Dominique Langlois et Adam El Mahfoudi. A Casa Del Arte, on peut s’essayer à la danse, à la sculpture, au théâtre ou à l’aquarelle.

La particularitĂ© de ce centre culturel, c’est d’abord la qualitĂ© de son accueil, ensuite la magie du lieu et enfin sa programmation Ă©clectique. Les propriĂ©taires et gĂ©rants programment tout au long de l’annĂ©e, et Ă©galement en Ă©tĂ©, des stages artistiques. En juillet, le hip-hop est Ă  l’honneur ainsi que la danse africaine, des stages d’une semaine y sont programmĂ©s. Pour les enfants de quatre Ă  douze ans, des stages d’arts plastiques, de danse, de théâtre et de sculpture sont prĂ©vus. Alors, profitez de l’étĂ© pour abreuver vos penchants artistiques ! Stages pour enfants : 1 050 DH/semaine (850 DH/semaine pour les adhĂ©rents).  Horaires : du lundi au vendredi, de 10h00 Ă  16h30 (accueil Ă  partir de 9h00).

Stages de danse : de 17h à 19h du lundi au vendredi. 1 000 DH (800 DH pour les adhérents).

Amira-GĂ©hanne Khalfallah

 

Pour toute information : info@casadelarte.ma

Dans l’eau, sur l’eau, sur terre, sur sable, sur piste, en l’air et même dans votre tête, voici comment profiter des vacances dans l’un des plus beaux et des plus amusants terrains de jeu du monde : le Maroc.


 

C’est le grand rush estival, le compte à rebours avant le Ramadan. Les boîtes refusent du monde, Casablanca et Rabat se vident pour embouteiller Dar Bouazza et Skhirat, les plages sont aussi bondées qu’une cellule à Oukacha... C’est donc ça les vacances ? A vous de voir.

Si vous êtes un adepte moutonnier de l’instinct grégaire, vous serez ravi par cet été raccourci. Mais si vous avez quelques velléités de profiter de la saison des chaleurs pour explorer de nouvelles sensations, suivez le guide.

Nous vivons dans le paradis des vagues et des rouleaux, alors apprenez à tenir debout sur une planche plutôt que de la faire. La planche. Vous en avez encore sous le plancher ? Pétaradez dans l’écume, juché sur des skis à moteur. Vous préférez le plancher des vaches ? On peut aussi faire de la voile sur le sable...

Le monde entier vient admirer nos paysages. Faites comme eux mais en mieux, visitez le Maroc par les airs. L’année fut stressante et vous avez des envies de meurtre ? Plutôt qu’assassiner votre patron, allez donc barbouiller votre grand frère en jouant à la guerre avec des billes de peinture dans les forêts du littoral. De tempérament plutôt pacifique ? Transformez-vous donc en lotus face à l’Atlantique. Ou tentez le kayak dans les paysages majestueux de l’Atlas.

Mais si vraiment vous voulez faire comme tout le monde, ne sortez pas n’importe où. On a aussi sélectionné des adresses pour faire la fête en évitant les coups de soleil... comme les coups de bambou !

Slimane Ammor

 

MĂ©ditez au chaud ou Ă  la plage

Y a qu’à se mettre au yoga !

 

Faire des ascèses spirituelles l’été, quoi de mieux pour balayer d’un coup le smog de stress, d’anxiété et d’hyperactivité qui pollue notre vie. Aujourd’hui, les centres de yoga se multiplient au Maroc.

 

Du yoga caliente !

Des mouvements frêles et langoureux évoluent au rythme des esprits et des corps en sueur… On se croirait sur une piste de danse de tango, mais non ! Il s’agit d’un type de yoga très spécial. En effet, le bikram yoga (ou le yoga chaud) ne comprend que 26 positions et deux exercices de respiration. Il est pratiqué durant 90 minutes dans des salles chauffées à 40,6 degrés (ni plus ni moins selon le maître de yoga bikram Choudhury). De Milan à Bogota en passant par Ottawa, le yoga chaud fait un tabac. A Casablanca, c’est Nabil Scalli, professeur de yoga, qui a importé le concept en créant Yoga Bikram, l’endroit le plus en vue de la capitale économique. Les prix sont relativement abordables. Le cours à la carte coûte 150 DH, et 350 DH par mois pour un abonnement de six mois, et seulement 275 DH par mois pour une année de détente. Pour ceux qui cherchent leur réconfort spirituel perdu dans le chaos urbain de Casablanca, Yoga Bikram est le parfait endroit.

 

19, rue de la Fontaine. Casablanca

www.bikramyoga.ma

 

Pieds dans l’eau, tête au septième ciel

Niché dans une oasis paradisiaque de trois hectares au bord de la mer, tout près de Taghazout dans les environs d’Agadir, le Paradis Plage est le premier surf, yoga & spa resort au Maroc. Il propose une formule inédite où aventure et bien-être ne font qu’un. ça en fait l’endroit rêvé pour une immersion totale dans la nature du Souss. Pour les besoins de la cause, le Paradis Plage a aménagé, selon les normes de la pratique du yoga, deux pavillons perchés sur une dune face à la mer, cernés par un spacieux bassin de lotus. Nico Shanti, le professeur de yoga résident du resort propose trois formules : le hatha yoga, une pratique qui repose sur la respiration, le yin yoga dérivé du hatha yoga, et le vinyasa qui consiste en la synchronisation des mouvements avec la respiration. En parallèle, des retraites et stages sont organisés sous la direction de Jax May, célèbre maître yoga et animateur de sites de retraite Formentera Yoga implantés entre Ibiza et Formentera. Autre pilier du Paradis Plage et pas des moindres, le surf. Les néophytes comme les rois de la glisse sur vague y trouvent leur bonheur.

Kaouthar Oudrhiri

Km 26, route d’Essaouira

Immi Ouaddar Agadir

www.paradisplage.com

 

Apprenez tango, aquarelle...

Casa Del Arte, une oasis pour les arts

Ceux qui connaissent ce coin béni de Casablanca ne peuvent plus s’y soustraire. Il suffit, en effet, d’aller une seule fois à Casa Del Arte, goûter aux plaisirs de ses milonga le samedi soir pour attraper le virus du tango ou de la salsa. Ce petit « îlot », situé dans le quartier Oasis, est un centre culturel pluridisciplinaire géré par le couple Dominique Langlois et Adam El Mahfoudi. A Casa Del Arte, on peut s’essayer à la danse, à la sculpture, au théâtre ou à l’aquarelle.

La particularitĂ© de ce centre culturel, c’est d’abord la qualitĂ© de son accueil, ensuite la magie du lieu et enfin sa programmation Ă©clectique. Les propriĂ©taires et gĂ©rants programment tout au long de l’annĂ©e, et Ă©galement en Ă©tĂ©, des stages artistiques. En juillet, le hip-hop est Ă  l’honneur ainsi que la danse africaine, des stages d’une semaine y sont programmĂ©s. Pour les enfants de quatre Ă  douze ans, des stages d’arts plastiques, de danse, de théâtre et de sculpture sont prĂ©vus. Alors, profitez de l’étĂ© pour abreuver vos penchants artistiques ! Stages pour enfants : 1 050 DH/semaine (850 DH/semaine pour les adhĂ©rents).  Horaires : du lundi au vendredi, de 10h00 Ă  16h30 (accueil Ă  partir de 9h00).

Stages de danse : de 17h à 19h du lundi au vendredi. 1 000 DH (800 DH pour les adhérents).

Amira-GĂ©hanne Khalfallah

 

Pour toute information : info@casadelarte.ma

Jouez  en plein air

Les plaisirs du vertige

L’inconvénient quand on grandit, c’est qu’on ose moins grimper aux arbres par peur du regard des autres. Heureusement, Playland, à Skhirat, propose un parcours acrobatique aérien pour nous faire renouer avec les jeux de notre enfance. De pont de singes en plateformes, vous pourrez vous élancer dans les tyroliennes pour 220 dirhams de l’heure, de jour comme de nuit.

Et, près de Marrakech, pour revivre les scènes vertigineuses de L’homme qui voulut être roi, allez sur les lieux du tournage, à Tahanaout, transformé aujourd’hui en parcours d’accrobranche spectaculaire avec tyrolienne dans les canyons (250 DH la demi-journée avec plusieurs parcours). Terres d’Amanar propose aussi l’hébergement (à partir de 800 DH sous tente et 1 280 DH si vous préférez dormir dans le « dur »).

 

Les frissons de la guéguerre

Skhirat est aussi le lieu de rendez-vous incontournable pour les accros de la gâchette à peinture. Le complexe Playland comprend trois terrains aux ambiances différentes, parfaits pour couvrir vos amis de peinture. Côté superficie, on va de 2 000 m2 pour le terrain Bronx à 7 000 m2 pour le terrain Open War, en plein air.

Evidemment, les organisateurs fournissent le matériel, même s’il est conseillé de venir avec une tenue sportive. Le paint-ball n’est pas de tout repos ! L’âge minimum est de douze ans, avec autorisation parentale, et les tarifs vont de 100 dirhams pour 50 billes de peinture à 1 300 dirhams pour 2 000 billes, avec possibilité de recharge ! Au fait, au cas où... la peinture est lavable à l’eau.

A El Jadida, le paint-ball est également devenu l’une des nouvelles activités proposées par Mazagan dans la belle forêt contiguë au resort. Histoire de vous défouler si vous avez perdu votre chemise au casino.

S.A. et N.S.

Playland. Skhirat. www.playland.ma/

Terres d’Amanar. Marrakech. www.terresdamanar.com/Mazagan Beach Resort, www.mazaganbeachresort.com

 

Volez  mais pas en avion

On arrive illico en hélico

 

Survoler la palmeraie de Marrakech, les canyons de la vallĂ©e d’Asni ou les contreforts de l’Atlas, mais aussi dĂ©jeuner Ă  4 200 mètres d’altitude, au sommet du Toubkal, aligner huit golfs en quatre jours ou trois casinos en trois nuits...  tout est possible en hĂ©licoptère. C’est bruyant mais c’est cinq fois plus rapide qu’une voiture. Et surtout embarquer Ă  bord d’un Ecureuil B2, c’est l’occasion de contempler le Maroc comme vous ne l’avez jamais vu. Certes, ce n’est pas donnĂ© et louer l’engin pour un simple Marrakech-Ouzarzate revient quand mĂŞme Ă  30 400 DH. Mais un baptĂŞme de l’air d’un petit quart d’heure ne coĂ»te que 800 DH. Et on s’en souvient toute sa vie.

S.A.

 

http://helicoptere.heliconia-maroc.com contact@heliconia-aero.com

Tel :+212 (0) 802 00 61 61

Hotline:+212 (0) 802 00 65 65

 

On est emballé par le ballon

On sait quand on part (à l’aube), mais on ignore où on va, ni combien de temps on reste en l’air. C’est l’incertitude des vols en montgolfière... Bienvenue à bord d’un vol écolo et silencieux ou presque, bercé par le vent et ébloui par les paysages qui défilent au ralenti. Vous resterez debout une heure et on vous promet que dans la nacelle le vertige est inconnu. Le tout pour 1 990 DH, petit déjeuner en bivouac inclus et assurance civile itou.

 

www.marrakechbyair.com

06 52 12 97 21

 

Glissez  sur la vague

Un surf au Sahara

La côte atlantique, forte de ses 3 500 kilomètres, offre son flanc et ses vagues aux sports de glisse. Dakhla est la Mecque des surfeurs et des navigateurs... Visite.

A 1 700 kilomètres de Casablanca, entre mer et désert, la péninsule de Dakhla, lagon protégé, propose 40 km de glisse. On pourrait croire à un mirage tellement l’eau est belle, colorée, scintillante. La baie de Dakhla est non seulement un plaisir pour les yeux mais on y pratique surtout des sports de glisse : kitesurf, windsurf et catamaran. Des sportifs de haut niveau venus du monde entier viennent y séjourner. On y trouve à la fois la magie du désert et la fraîcheur du balnéaire. Et très peu d’endroits au monde offrent ce contraste. Mais au-delà de cette beauté, à Dakhla, il y a le soleil, la mer et les alizés qui soufflent tout au long de l’année.

Au milieu de ce bel écrin : Dakhla Attitude. C’est en 2003 que Karim Skalli et Rachid Roussafi ont donné naissance au camp et à l’école de kitesurf devenue célèbre, pour partager l’aventure, transmettre leur passion. Cette passion qui dure depuis plusieurs années a été nourrie de rencontres, et le concept de Dakhla Attitude n’a cessé d’évoluer. Cette année, des packages à destination des Marocains ont été lancés. Une niche touristique s’est développée. « Le nombre de clients marocains ayant augmenté, Dakhla Attitude s’est tourné vers ce nouveau marché. On est passé de 5% à 20% de nationaux », se réjouit Hatim Lahmar, responsable des réservations. Cet été, pour soutenir une telle évolution une promotion a été lancée. Il s’agit d’un package incluant « le billet d’avion, le transfert de l’aéroport et un hébergement en bungalow double avec petit déjeuner pour deux nuits et trois jours, le tout à partir de 3 195 DH », précise le responsable.

Pour ceux qui misent tout sur le wind et le kite, Laâriche (petit village de pêche à 60 km du chef-lieu) et ses plages éloignées des récifs forment un cadre idéal. Pour les débutants, Foum Loubir offre des vagues plutôt moyennes. Alors, si vous avez des planches…

A.G.K.

www.dakhla-attitude.ma

Jouez  en plein air

Les plaisirs du vertige

L’inconvénient quand on grandit, c’est qu’on ose moins grimper aux arbres par peur du regard des autres. Heureusement, Playland, à Skhirat, propose un parcours acrobatique aérien pour nous faire renouer avec les jeux de notre enfance. De pont de singes en plateformes, vous pourrez vous élancer dans les tyroliennes pour 220 dirhams de l’heure, de jour comme de nuit.

Et, près de Marrakech, pour revivre les scènes vertigineuses de L’homme qui voulut être roi, allez sur les lieux du tournage, à Tahanaout, transformé aujourd’hui en parcours d’accrobranche spectaculaire avec tyrolienne dans les canyons (250 DH la demi-journée avec plusieurs parcours). Terres d’Amanar propose aussi l’hébergement (à partir de 800 DH sous tente et 1 280 DH si vous préférez dormir dans le « dur »).

 

Les frissons de la guéguerre

Skhirat est aussi le lieu de rendez-vous incontournable pour les accros de la gâchette à peinture. Le complexe Playland comprend trois terrains aux ambiances différentes, parfaits pour couvrir vos amis de peinture. Côté superficie, on va de 2 000 m2 pour le terrain Bronx à 7 000 m2 pour le terrain Open War, en plein air.

Evidemment, les organisateurs fournissent le matériel, même s’il est conseillé de venir avec une tenue sportive. Le paint-ball n’est pas de tout repos ! L’âge minimum est de douze ans, avec autorisation parentale, et les tarifs vont de 100 dirhams pour 50 billes de peinture à 1 300 dirhams pour 2 000 billes, avec possibilité de recharge ! Au fait, au cas où... la peinture est lavable à l’eau.

A El Jadida, le paint-ball est également devenu l’une des nouvelles activités proposées par Mazagan dans la belle forêt contiguë au resort. Histoire de vous défouler si vous avez perdu votre chemise au casino.

S.A. et N.S.

Playland. Skhirat. www.playland.ma/

Terres d’Amanar. Marrakech. www.terresdamanar.com/Mazagan Beach Resort, www.mazaganbeachresort.com

 

Volez  mais pas en avion

On arrive illico en hélico

 

Survoler la palmeraie de Marrakech, les canyons de la vallĂ©e d’Asni ou les contreforts de l’Atlas, mais aussi dĂ©jeuner Ă  4 200 mètres d’altitude, au sommet du Toubkal, aligner huit golfs en quatre jours ou trois casinos en trois nuits...  tout est possible en hĂ©licoptère. C’est bruyant mais c’est cinq fois plus rapide qu’une voiture. Et surtout embarquer Ă  bord d’un Ecureuil B2, c’est l’occasion de contempler le Maroc comme vous ne l’avez jamais vu. Certes, ce n’est pas donnĂ© et louer l’engin pour un simple Marrakech-Ouzarzate revient quand mĂŞme Ă  30 400 DH. Mais un baptĂŞme de l’air d’un petit quart d’heure ne coĂ»te que 800 DH. Et on s’en souvient toute sa vie.

S.A.

 

http://helicoptere.heliconia-maroc.com contact@heliconia-aero.com

Tel :+212 (0) 802 00 61 61

Hotline:+212 (0) 802 00 65 65

 

On est emballé par le ballon

On sait quand on part (à l’aube), mais on ignore où on va, ni combien de temps on reste en l’air. C’est l’incertitude des vols en montgolfière... Bienvenue à bord d’un vol écolo et silencieux ou presque, bercé par le vent et ébloui par les paysages qui défilent au ralenti. Vous resterez debout une heure et on vous promet que dans la nacelle le vertige est inconnu. Le tout pour 1 990 DH, petit déjeuner en bivouac inclus et assurance civile itou.

 

www.marrakechbyair.com

06 52 12 97 21

 

Glissez  sur la vague

Un surf au Sahara

La côte atlantique, forte de ses 3 500 kilomètres, offre son flanc et ses vagues aux sports de glisse. Dakhla est la Mecque des surfeurs et des navigateurs... Visite.

A 1 700 kilomètres de Casablanca, entre mer et désert, la péninsule de Dakhla, lagon protégé, propose 40 km de glisse. On pourrait croire à un mirage tellement l’eau est belle, colorée, scintillante. La baie de Dakhla est non seulement un plaisir pour les yeux mais on y pratique surtout des sports de glisse : kitesurf, windsurf et catamaran. Des sportifs de haut niveau venus du monde entier viennent y séjourner. On y trouve à la fois la magie du désert et la fraîcheur du balnéaire. Et très peu d’endroits au monde offrent ce contraste. Mais au-delà de cette beauté, à Dakhla, il y a le soleil, la mer et les alizés qui soufflent tout au long de l’année.

Au milieu de ce bel écrin : Dakhla Attitude. C’est en 2003 que Karim Skalli et Rachid Roussafi ont donné naissance au camp et à l’école de kitesurf devenue célèbre, pour partager l’aventure, transmettre leur passion. Cette passion qui dure depuis plusieurs années a été nourrie de rencontres, et le concept de Dakhla Attitude n’a cessé d’évoluer. Cette année, des packages à destination des Marocains ont été lancés. Une niche touristique s’est développée. « Le nombre de clients marocains ayant augmenté, Dakhla Attitude s’est tourné vers ce nouveau marché. On est passé de 5% à 20% de nationaux », se réjouit Hatim Lahmar, responsable des réservations. Cet été, pour soutenir une telle évolution une promotion a été lancée. Il s’agit d’un package incluant « le billet d’avion, le transfert de l’aéroport et un hébergement en bungalow double avec petit déjeuner pour deux nuits et trois jours, le tout à partir de 3 195 DH », précise le responsable.

Pour ceux qui misent tout sur le wind et le kite, Laâriche (petit village de pêche à 60 km du chef-lieu) et ses plages éloignées des récifs forment un cadre idéal. Pour les débutants, Foum Loubir offre des vagues plutôt moyennes. Alors, si vous avez des planches…

A.G.K.

www.dakhla-attitude.ma


Au pied des Oudayas

A Rabat, on peut aussi pratiquer le surf. Oudayas Surf Club est installé non loin du site historique éponyme. Au début, il y a une quinzaine d’années, l’association était petite, mais elle a pris de l’envergure grâce au roi Mohammed VI, grand amateur de sports nautiques, qui l’a aidée financièrement. Aujourd’hui, ce club a pour objectif de démocratiser ce sport pour qu’il devienne accessible au plus grand nombre. Car si le climat n’a rien à envier à celui des plages californiennes, les moyens, eux, font parfois défaut ici. De fait, le club des Oudayas propose des prix entre 700 et 800 dirhams pour des stages comprenant une dizaine de séances d’une heure et demie chacune. « Les prix peuvent paraître élevés, mais nous assurons tout le matériel nécessaire (combinaison, planche et autres accessoires…). L’acheter coûte bien plus cher que les tarifs d’adhésion », nous explique un responsable du club. Pour ceux qui ne veulent pas s’engager sur plusieurs séances, des cours particuliers sont dispensés au tarif de 150 dirhams la séance. Les entraînements ont lieu soit sur la plage de Rabat, ou sur celle d’Ouedi Kém, ou encore celle de Mehdia. Le club est ouvert tous les jours de la semaine, sauf le lundi. A.H.E.

 

3, kasbah des Oudayas. Rabat

Tél. : 05 37 26 06 83

 

Naviguez sur un lac majeur

« A Bin El Ouidane,  je me suis assise et j’ai contemplé… »

 

Au royaume des natures désolées, Bin El Ouidane (entre les deux fleuves littéralement) tient inexorablement le haut du pavé. En arrivant pour la première fois au bord de ce lac entre ciel et montagnes, au bout d’un itinéraire escarpé, minutieusement indiqué par mon hôte, je me suis d’abord crue au bord du Mississipi, tellement la nature alentour m’a semblé sauvage. Puis, je me suis retrouvée sur une vaste plage rocheuse où les cactus coiffent élégamment la terre rouge pour aboutir sur un quai où sont amarrés des bateaux en tous genres.

Le site séduit d’emblée par son irrévérence. Mésopotamie, Toscane… tout ce qu’on m’avait raconté à propos de Bin El Ouidane s’est évanoui à la vue de cet horizon bloqué par des montagnes qu’on imagine enneigées l’hiver. Entre l’oued El Abid et l’Assif Ahansal, le lac couve ses eaux cristallines. En plein cœur du Haut Atlas, à quelques kilomètres d’Azilal, le site a été découvert il y a quelques années à peine, par des chasseurs de sangliers. Aujourd’hui, Bin El Ouidane rassemble les amoureux de paysages spectaculaires, toute l’année durant. La saison chaude, elle, y prend carrément des allures d’été indien, tempêtes de sable et ciel rouge compris. Les sports nautiques y sont légion : canoë, ski nautique, pédalo… La frileuse que je suis a fini par jeter son dévolu sur les balades en bateau. Assistée par le propriétaire, j’ai appris à quel point la conduite était un jeu d’enfant. « Il est plus facile de flotter que de rouler à Casablanca », me fait remarquer Abdellah qui ne connaît de la métropole que la boutique où il a acheté son bateau. Plusieurs options sont permises et l’on peut même passer toute la journée dans l’eau : s’arrêter au niveau des gorges d’Ahansal pour nager, ou encore pique-niquer sur une petite île ombragée avant de retourner dans l’eau… Pour les moins nautiques, le site offre la possibilité de se perdre dans cette vaste nature via des randonnées pédestres, spontanées ou guidées. Seule précaution : garder son portable en poche histoire d’appeler à la rescousse votre hôte, guide, ou n’importe qui du village, au cas où vous vous perdriez. Les plus téméraires peuvent tenter l’aventure en quad. Considéré comme faisant encore partie du « Maroc inutile », Bin El Ouidane peut se targuer d’être l’un des rares sites assez peu exploités et donc, jouir d’un exotisme si singulier qu’il en arrive à nous dépayser dans notre propre pays.

Asmaa Chaidi Bahraoui

 

HĂ´tel Chems du Lac. wwww.chemshotels.com

Abdellah : 06 11 18 77 07

 

Voguez sur le sable

Un char charrié par le vent

Le vent qui claque dans la voile, les roues qui crissent sur le sable.... et une incroyable sensation de vitesse au ras du sol : c’est le char à voile, une discipline rare au Maroc. Ce voilier monté sur pneu s’acclimate parfaitement aux longues plages étales du Royaume. Les plus mordus ont déjà avalé des kilomètres de sable de Tanger à Dakhla. Quant aux novices, ils peuvent désormais s’initier au Mazagan Beach Resort. Si vous pressentez une journée venteuse, ne déprimez pas, c’est l’occasion de découvrir un sport qui sera bientôt dans le vent...

S.A.

www.mazaganbeachresort.com

Au pied des Oudayas

A Rabat, on peut aussi pratiquer le surf. Oudayas Surf Club est installé non loin du site historique éponyme. Au début, il y a une quinzaine d’années, l’association était petite, mais elle a pris de l’envergure grâce au roi Mohammed VI, grand amateur de sports nautiques, qui l’a aidée financièrement. Aujourd’hui, ce club a pour objectif de démocratiser ce sport pour qu’il devienne accessible au plus grand nombre. Car si le climat n’a rien à envier à celui des plages californiennes, les moyens, eux, font parfois défaut ici. De fait, le club des Oudayas propose des prix entre 700 et 800 dirhams pour des stages comprenant une dizaine de séances d’une heure et demie chacune. « Les prix peuvent paraître élevés, mais nous assurons tout le matériel nécessaire (combinaison, planche et autres accessoires…). L’acheter coûte bien plus cher que les tarifs d’adhésion », nous explique un responsable du club. Pour ceux qui ne veulent pas s’engager sur plusieurs séances, des cours particuliers sont dispensés au tarif de 150 dirhams la séance. Les entraînements ont lieu soit sur la plage de Rabat, ou sur celle d’Ouedi Kém, ou encore celle de Mehdia. Le club est ouvert tous les jours de la semaine, sauf le lundi. A.H.E.

 

3, kasbah des Oudayas. Rabat

Tél. : 05 37 26 06 83

 

Naviguez sur un lac majeur

« A Bin El Ouidane,  je me suis assise et j’ai contemplé… »

 

Au royaume des natures désolées, Bin El Ouidane (entre les deux fleuves littéralement) tient inexorablement le haut du pavé. En arrivant pour la première fois au bord de ce lac entre ciel et montagnes, au bout d’un itinéraire escarpé, minutieusement indiqué par mon hôte, je me suis d’abord crue au bord du Mississipi, tellement la nature alentour m’a semblé sauvage. Puis, je me suis retrouvée sur une vaste plage rocheuse où les cactus coiffent élégamment la terre rouge pour aboutir sur un quai où sont amarrés des bateaux en tous genres.

Le site séduit d’emblée par son irrévérence. Mésopotamie, Toscane… tout ce qu’on m’avait raconté à propos de Bin El Ouidane s’est évanoui à la vue de cet horizon bloqué par des montagnes qu’on imagine enneigées l’hiver. Entre l’oued El Abid et l’Assif Ahansal, le lac couve ses eaux cristallines. En plein cœur du Haut Atlas, à quelques kilomètres d’Azilal, le site a été découvert il y a quelques années à peine, par des chasseurs de sangliers. Aujourd’hui, Bin El Ouidane rassemble les amoureux de paysages spectaculaires, toute l’année durant. La saison chaude, elle, y prend carrément des allures d’été indien, tempêtes de sable et ciel rouge compris. Les sports nautiques y sont légion : canoë, ski nautique, pédalo… La frileuse que je suis a fini par jeter son dévolu sur les balades en bateau. Assistée par le propriétaire, j’ai appris à quel point la conduite était un jeu d’enfant. « Il est plus facile de flotter que de rouler à Casablanca », me fait remarquer Abdellah qui ne connaît de la métropole que la boutique où il a acheté son bateau. Plusieurs options sont permises et l’on peut même passer toute la journée dans l’eau : s’arrêter au niveau des gorges d’Ahansal pour nager, ou encore pique-niquer sur une petite île ombragée avant de retourner dans l’eau… Pour les moins nautiques, le site offre la possibilité de se perdre dans cette vaste nature via des randonnées pédestres, spontanées ou guidées. Seule précaution : garder son portable en poche histoire d’appeler à la rescousse votre hôte, guide, ou n’importe qui du village, au cas où vous vous perdriez. Les plus téméraires peuvent tenter l’aventure en quad. Considéré comme faisant encore partie du « Maroc inutile », Bin El Ouidane peut se targuer d’être l’un des rares sites assez peu exploités et donc, jouir d’un exotisme si singulier qu’il en arrive à nous dépayser dans notre propre pays.

Asmaa Chaidi Bahraoui

 

HĂ´tel Chems du Lac. wwww.chemshotels.com

Abdellah : 06 11 18 77 07

 

Voguez sur le sable

Un char charrié par le vent

Le vent qui claque dans la voile, les roues qui crissent sur le sable.... et une incroyable sensation de vitesse au ras du sol : c’est le char à voile, une discipline rare au Maroc. Ce voilier monté sur pneu s’acclimate parfaitement aux longues plages étales du Royaume. Les plus mordus ont déjà avalé des kilomètres de sable de Tanger à Dakhla. Quant aux novices, ils peuvent désormais s’initier au Mazagan Beach Resort. Si vous pressentez une journée venteuse, ne déprimez pas, c’est l’occasion de découvrir un sport qui sera bientôt dans le vent...

S.A.

www.mazaganbeachresort.com


DĂ©couvrez  un nouveau quartier

TraĂ®nez vos basques  boulevard d’Anfa

Après un cappuccino au Starbucks, on enchaîne avec une Beck’s au Jack Rabbit Sum’s, le « restau amerlok » à la déco inspirée par Pulp Fiction. Tout en grignotant des oignons frits devant un match de base-ball, on se réserve pour la suite. Mais avant de partir : ne pas oublier d’aller faire un tour aux toilettes décorées dans le style de Sin City. Ça cartoon !

On finit la soirée au Lizarran, la franchise de tapas basques. Après avoir grignoté de délicieux pinchos à 16 DH, on déguste un surtido de 6 croquetas (55 DH), de succulentes croquettes aux cèpes, à la morue ou au poulet enrichies à la béchamel. Une tuerie !

Après toutes ces calories, on se déhanche et on chaloupe au rythme du trio latino qui régale du jeudi au samedi les accros de ce nouveau lieu déjà complet. Bienvenue dans la nouvelle place to be à Casablanca depuis deux mois. Une mini-rue piétonne dans un quartier qui fut longtemps sinistre à la nuit tombée. Vous ne pouvez pas la louper, c’est juste en face de l’hôtel Idou Anfa.

S.A.

 

Starbucks : boulevard d’Anfa. Tél. : 05 22 27 23 47

Rabbit Summit : impasse Sebdi. Tél. : 05 22 26 38 29

Lizarran : 92, bd d’Anfa. Tél. : 06 64 84 87 62

 

 

Domptez la vague

Le jet-ski, ça en jette !

 

Si vous en avez assez de vous prélasser comme un mollusque sur un transat toute la journée, optez pour le jet-ski, le sport nautique le plus tendance du moment. Si vous n’avez aucun scrupule à polluer le littoral et si vous évitez d’écharper les baigneurs, la glisse supersonique sur l’eau, ça vaut le coup !

Il y a le JetMarine à Saïdia et ses 13 km de plage. Le club propose deux formules : des jet-skis en location ou à la vente pour les initiés et des sessions encadrées par des professionnels du sport pour les novices. A Agadir, un club particulier sort du lot. Il s’agit du Club Royal de Jet-Ski qui est sur le marché depuis plus de douze ans, ce qui en fait le club de jet-ski le plus ancien. Vous pouvez donc profiter de l’expertise de fins connaisseurs.

Plus près de Casablanca, les adeptes de ce sport peuvent aussi tenter une expérience sur la plage du Mazagan à El Jadida pour 1 350 DH les trente minutes. Ajoutez 200 DH pour le passager.

Kaouthar Oudrhiri

 

 

 

Roulez   en famille

Amateurs de sensations fortes, du karting vous ferez!

 

A seulement 60 km de Casablanca, le Village Go Kart de Benslimane est un grand complexe multisport de neuf hectares, un bon plan pour se dépenser, en famille, loin du vacarme urbain. C’est le premier centre de karting au Maroc. Il est doté d’une piste d’un kilomètre conforme aux normes internationales, modulable en trois pistes : mini-kart pour les enfants, kart quatre temps et kart deux temps pour les adultes.

En plus du karting, le VGK propose une ribambelle d’activités : paint-ball, tire à l’arc, foot, tennis ou skate. Niveau infrastructures, le complexe est équipé de cinq terrains éclairés dont trois en terre battue et deux en dur, un terrain de mini-foot, un terrain de beach volley, un autre de pétanque et enfin une piste en terre de jogging qui borde le Village Go Kart. Pour le karting il faut compter 84 DH (les dix minutes) pour les enfants. Les tarifs pour adultes varient entre 130 et 275 DH selon la performance du moteur.

Kaouthar Oudrhiri

 

Autoroute Casablanca-Rabat. Sortie Mohammédia Est, Km 2. Mohammédia Ben Slimane

 

 

 

Sortez

Vous faire voir

Expo au tahiti beach

L’idée est originale et il fallait y penser ! Le Tahiti Beach Club de Casablanca met les bouchées doubles cet été et il ne s’agit pas de gastronomie mais… de culture. En effet, le célèbre club ne propose pas seulement sa plage, ses piscines et ses restaurants mais aussi une exposition de photographies. Les œuvres de quatre artistes marocains, Ali Chraibi, Mustafa Meskine, Abderrahmane Doukkane et Brahim Benkirane, y sont présentées.

L’exposition Héritage est un assemblage de regards croisés mettant en scène Paris et divers paysages du Maroc. La couleur y côtoie le noir et blanc et le moderne tranche avec le traditionnel. Les angles choisis sont souvent décalés. En peu de mots, des photographies qui valent le détour !

L’exposition est visible tout l’été, jusqu’au 5 octobre.

 

Tahiti Beach Club

Tél. : 05 22 79 80 25

 

Faites le plein de Bubbles pour 100 DH

Cet été, l’Hôtel des Arts à Dar Bouazza revêt ses vêtements d’été et offre au Bubbles des journées entières dédiées aux plaisirs de la nage et à la musique avec des Dj célèbres et des danseuses hongroises. Tous les jours, de 10h à 20h, vous pouvez nager en profitant de la musique, du restaurant et des spectacles de danse pour le plaisir des papilles, des yeux et du corps à la fois. L’entrée est l’une des plus abordables de Casablanca : 100 DH la journée pour les adultes et la moitié pour les enfants. Les vendredis soirs sont dédiés à des soirées thématiques avec musique toute la nuit ! Mais comment s’habiller le soir au Bubbles ? Robe de soirée, costard ou maillot de bain ? A vous de voir !

 

Hôtel des Arts Suites & Spa. Tél. : 06 63 00 05 66

 

Cotton Club

Pretty dancing

Après une belle journée ensoleillée sur l’une des plages de Rabat, ceux qui ont la forme peuvent poursuivre avec une soirée au pub, et apprécier de la bonne musique en live au Cotton Club. Ouvert il y a plus d’un an, ce coin très cosy attire de plus en plus une clientèle séduite par son concept original. Pas cher, mais select, le club propose tous les jours de la semaine un style musical différent. Excepté le dimanche, la programmation alterne pop, soul, jazz, rock, country, afro musique… Avec en prime, chaque mardi, un « open stage » dédié aux jeunes talents qui viennent se produire devant le public, souvent pour la première fois. Bien évidement, le risque de fausses notes n’est pas à exclure, mais elles sont vite diluées dans l’ambiance bon enfant et la bonne humeur qui accompagne les spectacles. Côté gastronomie, la cuisine est délicieuse. Pour les gourmands, il est conseillé de commander le filet de bœuf à 120 DH. Les tapas, elles, sont parfaites pour les petites faims. Bonne soirée.

Kaouthar Oudrhiri

Cotton Club, 32 avenue Oqba Agdal Rabat.

TĂ©l. : 05 37 68 21 72

DĂ©couvrez  un nouveau quartier

TraĂ®nez vos basques  boulevard d’Anfa

Après un cappuccino au Starbucks, on enchaîne avec une Beck’s au Jack Rabbit Sum’s, le « restau amerlok » à la déco inspirée par Pulp Fiction. Tout en grignotant des oignons frits devant un match de base-ball, on se réserve pour la suite. Mais avant de partir : ne pas oublier d’aller faire un tour aux toilettes décorées dans le style de Sin City. Ça cartoon !

On finit la soirée au Lizarran, la franchise de tapas basques. Après avoir grignoté de délicieux pinchos à 16 DH, on déguste un surtido de 6 croquetas (55 DH), de succulentes croquettes aux cèpes, à la morue ou au poulet enrichies à la béchamel. Une tuerie !

Après toutes ces calories, on se déhanche et on chaloupe au rythme du trio latino qui régale du jeudi au samedi les accros de ce nouveau lieu déjà complet. Bienvenue dans la nouvelle place to be à Casablanca depuis deux mois. Une mini-rue piétonne dans un quartier qui fut longtemps sinistre à la nuit tombée. Vous ne pouvez pas la louper, c’est juste en face de l’hôtel Idou Anfa.

S.A.

 

Starbucks : boulevard d’Anfa. Tél. : 05 22 27 23 47

Rabbit Summit : impasse Sebdi. Tél. : 05 22 26 38 29

Lizarran : 92, bd d’Anfa. Tél. : 06 64 84 87 62

 

 

Domptez la vague

Le jet-ski, ça en jette !

 

Si vous en avez assez de vous prélasser comme un mollusque sur un transat toute la journée, optez pour le jet-ski, le sport nautique le plus tendance du moment. Si vous n’avez aucun scrupule à polluer le littoral et si vous évitez d’écharper les baigneurs, la glisse supersonique sur l’eau, ça vaut le coup !

Il y a le JetMarine à Saïdia et ses 13 km de plage. Le club propose deux formules : des jet-skis en location ou à la vente pour les initiés et des sessions encadrées par des professionnels du sport pour les novices. A Agadir, un club particulier sort du lot. Il s’agit du Club Royal de Jet-Ski qui est sur le marché depuis plus de douze ans, ce qui en fait le club de jet-ski le plus ancien. Vous pouvez donc profiter de l’expertise de fins connaisseurs.

Plus près de Casablanca, les adeptes de ce sport peuvent aussi tenter une expérience sur la plage du Mazagan à El Jadida pour 1 350 DH les trente minutes. Ajoutez 200 DH pour le passager.

Kaouthar Oudrhiri

 

 

 

Roulez   en famille

Amateurs de sensations fortes, du karting vous ferez!

 

A seulement 60 km de Casablanca, le Village Go Kart de Benslimane est un grand complexe multisport de neuf hectares, un bon plan pour se dépenser, en famille, loin du vacarme urbain. C’est le premier centre de karting au Maroc. Il est doté d’une piste d’un kilomètre conforme aux normes internationales, modulable en trois pistes : mini-kart pour les enfants, kart quatre temps et kart deux temps pour les adultes.

En plus du karting, le VGK propose une ribambelle d’activités : paint-ball, tire à l’arc, foot, tennis ou skate. Niveau infrastructures, le complexe est équipé de cinq terrains éclairés dont trois en terre battue et deux en dur, un terrain de mini-foot, un terrain de beach volley, un autre de pétanque et enfin une piste en terre de jogging qui borde le Village Go Kart. Pour le karting il faut compter 84 DH (les dix minutes) pour les enfants. Les tarifs pour adultes varient entre 130 et 275 DH selon la performance du moteur.

Kaouthar Oudrhiri

 

Autoroute Casablanca-Rabat. Sortie Mohammédia Est, Km 2. Mohammédia Ben Slimane

 

 

 

Sortez

Vous faire voir

Expo au tahiti beach

L’idée est originale et il fallait y penser ! Le Tahiti Beach Club de Casablanca met les bouchées doubles cet été et il ne s’agit pas de gastronomie mais… de culture. En effet, le célèbre club ne propose pas seulement sa plage, ses piscines et ses restaurants mais aussi une exposition de photographies. Les œuvres de quatre artistes marocains, Ali Chraibi, Mustafa Meskine, Abderrahmane Doukkane et Brahim Benkirane, y sont présentées.

L’exposition Héritage est un assemblage de regards croisés mettant en scène Paris et divers paysages du Maroc. La couleur y côtoie le noir et blanc et le moderne tranche avec le traditionnel. Les angles choisis sont souvent décalés. En peu de mots, des photographies qui valent le détour !

L’exposition est visible tout l’été, jusqu’au 5 octobre.

 

Tahiti Beach Club

Tél. : 05 22 79 80 25

 

Faites le plein de Bubbles pour 100 DH

Cet été, l’Hôtel des Arts à Dar Bouazza revêt ses vêtements d’été et offre au Bubbles des journées entières dédiées aux plaisirs de la nage et à la musique avec des Dj célèbres et des danseuses hongroises. Tous les jours, de 10h à 20h, vous pouvez nager en profitant de la musique, du restaurant et des spectacles de danse pour le plaisir des papilles, des yeux et du corps à la fois. L’entrée est l’une des plus abordables de Casablanca : 100 DH la journée pour les adultes et la moitié pour les enfants. Les vendredis soirs sont dédiés à des soirées thématiques avec musique toute la nuit ! Mais comment s’habiller le soir au Bubbles ? Robe de soirée, costard ou maillot de bain ? A vous de voir !

 

Hôtel des Arts Suites & Spa. Tél. : 06 63 00 05 66

 

Cotton Club

Pretty dancing

Après une belle journée ensoleillée sur l’une des plages de Rabat, ceux qui ont la forme peuvent poursuivre avec une soirée au pub, et apprécier de la bonne musique en live au Cotton Club. Ouvert il y a plus d’un an, ce coin très cosy attire de plus en plus une clientèle séduite par son concept original. Pas cher, mais select, le club propose tous les jours de la semaine un style musical différent. Excepté le dimanche, la programmation alterne pop, soul, jazz, rock, country, afro musique… Avec en prime, chaque mardi, un « open stage » dédié aux jeunes talents qui viennent se produire devant le public, souvent pour la première fois. Bien évidement, le risque de fausses notes n’est pas à exclure, mais elles sont vite diluées dans l’ambiance bon enfant et la bonne humeur qui accompagne les spectacles. Côté gastronomie, la cuisine est délicieuse. Pour les gourmands, il est conseillé de commander le filet de bœuf à 120 DH. Les tapas, elles, sont parfaites pour les petites faims. Bonne soirée.

Kaouthar Oudrhiri

Cotton Club, 32 avenue Oqba Agdal Rabat.

TĂ©l. : 05 37 68 21 72

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N°145 : Quand le Maroc Ă©tait amĂ©ricain 
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N°143 : Cheikh Maghraoui :  Cet homme est dangereux
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N°140 : Faut-il abandonner le français ? 
N°139 : Entretien avec Hamid Benalfdil : DG du CRI du Grand Casablanca.
N°138 : Le sexe au temps du cĂ©libat 
N°137 : ONG: La face cachĂ©e de la sociĂ©tĂ© civile
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N°135 : Caisse marocaine des retraites : La bombe Ă  retardement
N°134 : Qui a tuĂ© Amina ? 
N°133 : Moralisation de la vie publique : Le spectre de la campagne d’assainissement plane
N°132 : DĂ©linquance :  Le Maroc a peur
N°131 : 14 femmes  pour Benkirane
N°130 : Le rĂ©veil des salafistes  Demain la charia ?
N°129 : Dilapidation des deniers publics:  Benallou et l'ONDA... pour commencer
N°128 : DSK   Le marocain
N°127 : Conservation foncière : pièges, magouilles, corruption
N°126 : Les enfants perdus  de Casablanca
N°125 : PJD  Les rois du marketing
N°124 : Le 20-FĂ©vrier s'essoufle...  mais le Maroc bouillonne
N°123 : Protectorat,   Cent ans sans solitude
N° 122 : Formation du gouvernement,  Ca coince et ca grince
N°121 : Portables, Internet, documents biomĂ©triques…  Flicage, mode d’emploi
N° 120 : Sondage exclusif :  Benkirane, Monsieur 82%
N°119 : Pourquoi le Maroc ne sera pas   islamiste
N°118 : Mohammed VI versus al-Assad,   Au nom du père
N°117 : Gouvernement :   Cabinets ministĂ©riels, de l’ombre Ă  la lumière
N°116 : Plan social :  les sacrifiĂ©s de la RAM
N°115 : Coup d’Etat :   Skhirat, L’histoire du putsch revue et corrigĂ©e
N°114 : Politique fiction  Et le gagnant est ...
N°113 : Le dernier combat de   Mohamed Leftah
N°112 : Portrait Abdelbari Zemzmi
N°111 : Harcèlement sexuel et moral  Un sport national
N°110 : Bilan  Le code de la dĂ©route
N° 109 : L’ONDA  Grosses tensions et petites combines
N°108 : Placements Comment sauvegarder son patrimoine  
N°107 : ImpĂ´t sur la fortune El Fassi lance un pavĂ© dans la mare  
N° 106 : Interview 
N° 104/105 : Presse Ă©trangère/Maroc Le grand malentendu  
N°103 : Le temps de l’amazigh  
actuel 102 : RĂ©fĂ©rendum Ecrasante victoire du Oui  
actuel 101 : FatĂ©ma Oufkir : Le roi et moi 
N°100 : 100 indignations et 100 solutions pour le Maroc 
N°99 : Projet constitutionnel Le roi et nous  
N° 98 : PĂ©dophilie  : Tolerance zero 
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N° 95 : Enseignement privĂ© : Le piège  
Actuel n°94 : Moi, Adil, 25 ans, marchand de chaussures et terroriste  
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N°46 : Chirurgie esthĂ©tique :  plus belle, tu meurs
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N°43 : Avec les Ă©vadĂ©s de Tindouf 
N°42 : GCM / Tamesna : Un scandale en bĂ©ton !
N°41 : ONA - SNI: Ils ont osĂ©
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N°37 : Boutchichis Les francs-maçons du Maroc
N°36 : Hamid Chabat rĂ©veille les vieux dĂ©mons
N°35 : Vies brisĂ©es 
N°34 : Maires Ceux qui bossent et ceux qui bullent
N°33 : Botola Combien gagnent nos joueurs
N°32 : Sexe, alcool, haschich, jeux… Les 7 vices des Marocains
N°31 : Tanger Le dossier noir des inondations
 
 
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