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Environnement Ce que nos VIP en pensent
actuel n°31, samedi 23 janvier 2010
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Sur Internet (www.charteenvironnement.ma), tous les Marocains peuvent participer aux dĂ©bats sur la future Charte de l’environnement. Voici des contributions supplĂ©mentaires : « actuel » a demandĂ© Ă  dix personnalitĂ©s ce qu’il faudrait faire pour vivre dans un Maroc plus vert


La Charte de l’environnement sera dĂ©mocratique ou ne sera pas. Ainsi en ont dĂ©cidĂ©, et c’est tant mieux, ses chevilles ouvriĂšres. Par les larges dĂ©bats prĂ©vus Ă  l’échelle rĂ©gionale et les concertations en cours avec les ONG travaillant dans ce domaine, ce projet de vĂ©ritable constitution d’un Maroc respectueux de l’environnement se veut consensuel, mais aussi engageant.

Mieux vaut tard que jamais, la parole est libĂ©rĂ©e. Ce qui relevait du fatalisme se traduit par des soucis et inquiĂ©tudes concrĂštes. Il aura pour cela fallu un discours royal (du TrĂŽne), des directives claires et prĂ©cises. Une dynamique est lancĂ©e, sans garanties de vĂ©ritables changements, Ă  moins d’une rĂ©volution dans les mentalitĂ©s. Ce qu’il faut, pour le moment, croire.

Le dĂ©bat a le mĂ©rite de faire s’interroger citoyens lambda comme acteurs politiques, Ă©conomiques et sociaux sur les chances de rĂ©ussite d’un programme qui aura force de loi. Chacun y va de ses idĂ©es d’aujourd’hui et des prioritĂ©s de demain. En attendant que le projet prenne forme, actuel s’invite aux dĂ©bats, en interpellant nombre de personnalitĂ©s, plus ou moins engagĂ©es dans la prĂ©servation de l’environnement, mais ayant toutes leur mot Ă  dire.

 

Nouzha Skalli, Ministre du Développement social, de la Famille et de la Solidarité

Une affaire de comportement.

La question de la gestion de l’eau est trĂšs importante, mais aussi la question plus large de la gestion collective des ressources et richesses qui nĂ©cessite quelques ajustements. Cette approche permettrait d’envisager une gestion plus durable, plus juste, plus solidaire, de nos ressources. L’écologie, la prĂ©servation de notre environnement, sont pour moi intimement liĂ©es au dĂ©veloppement humain. DerniĂšrement, des dĂ©cisions stratĂ©giques importantes ont Ă©tĂ© prises, notamment en ce qui concerne l’énergie renouvelable. Mais c’est surtout la concertation sur la charte environnementale qui me rend optimiste : une concertation implique une large mobilisation. Or, les dĂ©cisions gouvernementales ne sont pas sufïŹsantes, il faut impliquer les collectivitĂ©s territoriales, changer les comportements collectifs et individuels.

 

Abdelhamid Amine, Vice-prĂ©sident de l’AMDH

L’environnement, un droit de l’Homme

Le droit Ă  un environnement sain est trĂšs important : sa dĂ©gradation est une atteinte aux droits humains. Ce n’est pas un problĂšme de deuxiĂšme catĂ©gorie, qui ne concernerait que les intellectuels. Si, Ă  l’AMDH, on a d’abord fait cette erreur, on l’a rectiïŹĂ© il y a deux ou trois ans, en crĂ©ant une commission chargĂ©e de travailler sur le sujet. La prioritĂ©, c’est de mieux gĂ©rer et de prĂ©server les forĂȘts. Si on continue Ă  agir comme on le fait actuellement, on vivra bientĂŽt dans un pays dĂ©sertique. N’oublions pas que le Maroc Ă©tait l’un des premiers Ă  ratiïŹer les conventions sur l’environnement ! (Le Maroc a signĂ© la Convention Cadre sur les changements climatiques au Sommet de Rio en 1992, et l’a ratiïŹĂ©e le 28 dĂ©cembre 1995. Le pays a Ă©galement ratiïŹĂ© le Protocole de Kyoto le 25 janvier 2002, entre autres, ndlr).

 

Lahcen Daoudi, Parlementaire PJD

Halte au gaspillage

Le problĂšme le plus pressant, c’est l’épuisement et la pollution des nappes phrĂ©atiques. C’est un problĂšme capital au Maroc. Il faut rĂ©agir rapidement. L’écologie, c’est d’abord l’anti-gaspillage. Or, le consumĂ©risme rĂ©git notre sociĂ©tĂ© : acheter une grosse voiture, construire une plus grande villa que le voisin
 Le mode de vie de l’administration (gouvernement) est un indicateur : pourquoi les fonctionnaires de Rabat n’utilisent-ils pas des voitures Ă©lectriques ? Il faut montrer l’exemple, passer aux actes. Pour un musulman, la nature est une crĂ©ation divine que l’on doit respecter.

 

Driss Jaydane, Ă©crivain.

Les actions contre les effets de com’

Pour moi, la prioritĂ©, c’est la pollution de l’air dans les villes et son cortĂšge de consĂ©quences sur la santĂ©. Il y a des mesures Ă  prendre rapidement, comme installer des dispositifs (pots catalytiques) sur les pots d’échappement des voitures et limiter la pollution des industries. Surtout Ă  Casablanca, oĂč la pollution est galopante, ce qui a de graves consĂ©quences, notamment sur la santĂ© des enfants : ils dĂ©veloppent des maladies respiratoires. Il en est de l’écologie comme il en est de toutes les prĂ©occupations au Maroc : on fait des discours. Certes, il y a des militants sincĂšres, des ONG qui font du bon boulot, des universitaires et des chercheurs qui tirent la sonnette d’alarme depuis des annĂ©es. Mais quand les politiques s’emparent du problĂšme, c’est une maniĂšre de faire de la diplomatie opportuniste pour s’inscrire dans le discours des nations
 Une vaste hypocrisie pour moi. C’est de la com’.

 

Nadia Yassine, Al Adl Wal Ihsane

Raviver une « tradition islamique »

Je pense que la lutte contre la pollution avec un grand P, devrait ĂȘtre notre prioritĂ©. Notamment la pollution chimique et industrielle. Les lois sont trop laxistes, et elles ne sont pas appliquĂ©es, Ă  cause de la corruption et du laisser-aller ambiants
 Dans l’absolu, ce qui se fait en ce moment, c’est bien : mais pourquoi faut-il toujours attendre que la France fasse quelque chose pour qu’ensuite on la singe ? Alors que la protection de l’environnement appartient Ă  la tradition islamique. J’espĂšre d’ailleurs que cette nouvelle attitude n’est pas juste une mode, mais une prise de conscience durable.

 

RĂ©da Allali, musicien, chroniqueur

Faire comme chez soi
 partout

Il faut commencer par Ă©duquer les gens, pour qu’ils aient le rĂ©ïŹ‚exe de ne pas salir autour d’eux : le degrĂ© zĂ©ro de l’écologie ! DĂšs qu’on met le nez dehors, on voit des ordures, des poubelles, on est confrontĂ© quotidiennement Ă  la pollution. Tous ces plastiques noirs qui s’amoncĂšlent, qui volent, mĂȘme dans le dĂ©sert
 C’est un problĂšme qu’on ne peut pas ignorer. Comme tout le monde, je pense que les politiques actuelles sont insufïŹsantes. Au Maroc, il ne faut pas se voiler la face, on est en retard sur les autres pays en matiĂšre de lutte contre la dĂ©gradation de l’environnement : on en est Ă  essayer d’empĂȘcher les gens de balancer des ordures par la fenĂȘtre de leur voiture ! D’ailleurs, c’est aussi une question politique, un problĂšme de dĂ©mocratie. Si le Marocain ne respecte pas l’espace public, c’est parce qu’il ne s’y sent pas chez lui. Les Marocains ne considĂšrent pas que la rue leur appartienne. Pendant longtemps, on a dit aux gens : « Occupe-toi de chez toi, de ta maison. » D’ailleurs dans l’inconscient collectif au Maroc, la rue est sale. C’est un paradoxe : nos rues sont sales, alors que nos maisons, quel que soit le niveau social des occupants, sont propres.

 

Nabil Ayouch, cinéaste et acteur économique et social

Fédérer tous les citoyens

En qualitĂ© de citoyen et de Casablancais je subis de plein fouet les mĂ©faits de la pollution. Et en tant que membre du conseil d’administration de la Fondation Mohammed VI pour l’environnement, je suis interpellĂ© Ă  plus d’un titre par cette problĂ©matique. La prioritĂ© Ă  mon avis en matiĂšre de sauvegarde de l’environnement est de fĂ©dĂ©rer tous les citoyens et forces vives du pays autour de projets concrets. Ceux relatifs aux Ă©nergies renouvelables en premier. Avec le travail amorcĂ© au niveau du solaire, nous avons une bonne base pour servir de rĂ©fĂ©rence en la matiĂšre. Il faut Ă©galement qu’on en arrive Ă  ce que chacun admette et assume ses responsabilitĂ©s individuelles et agisse au sein d’un programme comme la Charte de l’environnement, une excellente initiative dont les initiateurs ont eu l’intelligence d’impliquer tous les Marocains. Reste Ă  peauïŹner la mĂ©thode en Ă©tant plus Ă  l’écoute de la sociĂ©tĂ© civile. D’autant que, face Ă  la pudeur, voire la lĂ©gĂšretĂ© avec laquelle les pouvoirs publics ont traitĂ© la problĂ©matique dans le passĂ©, c’est celle-ci qui a comblĂ© le vide. PoussĂ© par une ferme volontĂ© du chef d’Etat, le Maroc s’est dĂ©couvert une vocation. A nous d’en faire un terrain d’excellence.

 

Fouad Abdelmoumni, homme d’affaires et militant associatif

Reconnaßtre les erreurs passées

J’avoue que ma conscience Ă©cologiste ne dĂ©passe guĂšre celle de mes faits et gestes quotidiens et ma responsabilitĂ© personnelle quant Ă  la non-dĂ©gradation de l’environnement. Mais je sais que je suis le citoyen d’un pays aride oĂč ni les conditions de vie, ni les mĂ©thodes de gouvernance ne favorisent un dĂ©veloppement durable. Les enjeux Ă©cologiques restent extrĂȘmement minorĂ©s. Et le pays tarde Ă  reconnaĂźtre que les orientations d’antan, voulant que le Maroc soit un pays agricole, sont erronĂ©es. Tout comme le discours des Ă©lites, stipulant qu’il faut Ă  tout prix ïŹ xer les « campagnards », est surannĂ©, irrĂ©alisable. Nous sommes dans une logique de saupoudrage, loin de toute organisation et rationalitĂ© Ă  mĂȘme de nous inscrire dans un dĂ©veloppement durable dont notre Ă©conomie et notre environnement sortiraient gagnants.

 

Ghita El Khayat, psychiatre

L’écologie, dĂšs la maternelle

À mon avis, les Marocains ne sont pas assez citoyens. L’éducation Ă  l’environnement est inexistante. C’est la qualitĂ© de notre citoyennetĂ© qu’il faudra d’abord dĂ©velopper et dĂšs la maternelle. C’est cela qui empĂȘchera des personnes Ă  bord de voitures de luxe de jeter des canettes et autres mouchoirs de leurs fenĂȘtres. C’est cela qui fera que la propretĂ© ne s’arrĂȘtera pas une fois passĂ© le seuil de nos maisons. Pour Casablanca, la prioritĂ© reste le dĂ©veloppement des espaces verts et le renouvellement des transports en commun, vĂ©tustes et polluants. Le ramassage des ordures ne tient pas compte de la dimension Ă©cologique, notamment en matiĂšre de rĂ©cupĂ©ration. Mais lĂ  oĂč il y a le plus de travail Ă  faire, c’est sur les mentalitĂ©s et cette prĂ©cieuse et rare notion de convivialitĂ© dans la ville.

Amanda Chapon et Tariq Qattab

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