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actuel n°130, vendredi 24 février 2012
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A Oujda, une fébrilité inhabituelle à Zouj Brel laisse présager l’ouverture imminente des frontières. En Algérie, les législatives sont prévues le 10 mai.
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Ramid a adressé une circulaire à tous les magistrats pour qu’ils appliquent la loi contre les avocats accusés d’escroquerie.
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On n’attend que l’aval d’El Othmani : l’ambassade de Paris devrait revenir à Saâd Hassar, et celle d’Arabie saoudite à Abdelouahab Bellouki, directeur du protocole au sein de son ministère.
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Le parquet de Rabat hériterait de l’instruction et du procès de l’épineux dossier du juge de Tanger arrêté pour corruption.
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Le SOS de Khalid Alioua à ses camarades de l’USFP a été mis sous le boisseau après plusieurs diatribes violentes entre les décideurs du parti.
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Une cellule chargée de suivre de près la situation des MRE en Syrie vient d’être créée au ministère des Affaires étrangères.
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Le Maroc n’a pas encore vu la couleur des 2,5 milliards de dollars promis par le Conseil de coopération du Golfe qui avait annoncé, en décembre, la création d’un fonds de 5  milliards pour le Maroc et la Jordanie.
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Benabdellah et Benkirane à couteaux tirés sur le contrôle d'Al Omrane, dont le CA est présidé pour l’instant par le chef du gouvernement. |
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