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actuel n°129, vendredi 17 février 2012
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Pour fĂȘter leur libĂ©ration, Ramid (avocat ou ministreâ?) a conviĂ© Ă une grande rĂ©ception les trois leaders salafistes libĂ©rĂ©s, Hassan Kettani, Abou Hafs et Omar Hadouchi, dans sa villa de AĂŻn Chock, le samedi 18 fĂ©vrier. Tout le gotha du PJD est de la fĂȘte.
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De retour des lieux saints, Mohamed TaĂŻeb Naciri, l'ex-ministre de la Justice a dĂ» regagner directement son bureau de Casablanca en raison de l'affluence de ses clients qui faisaient le pied de grue depuis quelques semaines.
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Rachid Zerhouni file un mauvais coton. L'ex-collaborateur de Ghellab et directeur de campagne, que ce dernier avait placé chez Yasmina Baddou en tant que directeur des infrastructures au ministÚre de la Santé, a été mis au placard par Hossein El Ouardi.
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La Cour constitutionnelle n'a pas donné suite aux plaintes pour cumul déposées contre les présidents de région qui ont été élus à la Chambre des représentants le 25 novembre dernier, considérant la période actuelle comme une phase de transition.
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Depuis plusieurs jours, des commissions dĂ©pĂȘchĂ©es par Aziz Rebbah sillonnent le pays pour procĂ©der Ă la fermeture des carriĂšres de sable que les exploitants continuent de ponctionner sans aucun contrĂŽle des services de lâĂtat, sans permis lĂ©gaux, sans respect dâaucune norme technique. |
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