Manifs
Le blues des blouses blanches
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Les élèves infirmiers de l’Institut de formation aux carrières de la santé à Casablanca ont manifesté, le 3 octobre, pour protester contre la décision du ministre de la Santé d’accorder l’équivalence de leur diplôme aux lauréats des écoles privées (voir actuel N°161).
GĂ©orgie
Il n’a pas gagné d’un cheveu
Personne ne le connaissait il y a un an, aujourd’hui on ne parle que de lui. Le milliardaire Bidzina Ivanichvili, à la tête de la coalition d’opposition en Géorgie, demande la démission du président vaincu. Un vent nouveau souffle sur le pays.
Fashion week
A la mode de Casa
Jamal Abdennasser (Festimode), Anissa Jarrar (Galeries Lafayette), Nour-Eddine Lakhmari (qu’on ne présente plus) et Jamila Diani (Aksal) : les quatre font la paire pour lancer la fashion week casablancaise qui aura lieu en novembre à l’église du Sacré-Cœur.
Essaouira
La mer rouge Ă Mogador
Après le passage de la tempête Nadine le 27 septembre dernier, les rivières ont charrié des fleuves de boue, coloriant d’une teinte étrange les rivages d’Essaouira. Mais ça n’a pas empêché les kitesurf de voler !
France
Pas très hand (some)
Coup de tonnerre dans les vestiaires de la dream team du handball français. Huit joueurs et ex-joueurs du club montpelliérain de hand, dont le meneur Nicola Karabatic, ont été mis en examen pour match truqué et paris illégaux.
Maroc
L’éducation, c’est urgent
Des célébrités et des inconnus, des analphabètes ou des lettrés se mobilisent pour le droit à l’éducation. Des photographies sobres, avec pour seul mot d’ordre « Education », font le buzz sur les réseaux sociaux. Tout le monde peut poster sa photo sur Facebook.
Venezuela
Et viva la coloración !
Une campagne électorale au Venezuela, c’est toujours haut en couleur. La preuve par Hugo Chavez et son adversaire Henrique Capriles en meeting, pas le même jour mais avec visiblement le même fournisseur de costume.
Women’s Tribune
Hissez haut !
Comme souvent au Maroc, tout se fait à la dernière minute. Women’s Tribune avait déjà commencé à Essaouira, mais on continuait encore à installer la déco. Heureusement qu’il y avait des hommes pour s’occuper des femmes !