Athlétisme.
Un Iguider en or.
L’athlète marocain Abdelaati Iguider s’est illustré aux 14es mondiaux en salle d’athlétisme d’Istanbul avec une médaille d’or aux 1 500 mètres. Côté femmes, sa compatriote Meryem Alaoui Selsouli a décroché la médaille d’argent dans la même discipline.
Aubry.
Le changement, c’est marrant.
Ces jeunes ont réussi a arracher un sourire à Martine Aubry, la première secrétaire du Parti socialiste (PS) français, venue battre campagne pour François Hollande au Maroc. La recette, mimer le geste du slogan électoral du PS : « Le changement, c’est maintenant. »
Insolite.
Et pourtant, ils marchent !
Non, ce ne sont pas des statues qui marchent. C’est tout simplement deux artistes qui plient bagage après une journée de représentation au festival de Gloucestershire en Angleterre. Ils sont recouverts de peinture pour les besoins du spectacle.
Hommage.
Nous sommes toutes des Amina.
Le suicide d’Amina, violée puis mariée de force (voir édito et page 62), a fait le tour du monde du web. De nombreux Marocains ont apporté des témoignages comme ces jeunes filles qui nous rappellent qu’une photo vaut mille mots.
Initiative.
Leçon de militantisme.
Un jeune Marocain, Yazid, a récolté, lui et ses amis d’une école de commerce à Nice, près de 50 000 dirhams pour venir en aide aux enfants malades camerounais que le petit groupe a rencontrés sur place. Une initiative malheureusement inédite au Maroc…
Champions League.
Mais si, Messi !
Lionel Messi est en forme. Et c’est peu dire. Le magicien du FC Barcelone a mis 5 buts dans les filets du Bayer Leverkusen ce 7 mars (victoire finale (7-1). Une véritable correction infligée aux Allemands par le triple Ballon d’or.
Belgique.
Le car de la mort.
La Belgique est sous le choc après cet accident d’autocar qui a coûté la vie à 28 personnes dont 22 enfants. Le drame a eu lieu près de Sierre, sur le territoire suisse. L’autocar ne roulait pas trop vite. Pour l’heure, la thèse de la « défaillance humaine » est la plus plausible.
Japon.
Recueillement.
L’empereur du Japon, Akihito, à peine sorti de l’hôpital après un pontage coronarien, et sa femme, Michik, ont prié devant un immense monument floral à la mémoire des victimes du tsunami du 11 mars 2011 qui avait compté plus de 3 000 disparus.