Football. Retourné acrobatique. Younes Belhanda, expatrié à Montpellier, met la Ligue 1 sens dessus dessous en égalisant face au PSG, qui n’est plus à l’abri d’un retournement de situation. Le club du Marocain talonne désormais les leaders du championnat d’un petit point.

Accident de la route. Acrobatique retourné. Une malheureuse prouesse en plein centre-ville de Casablanca. Ce conducteur n’a visiblement pas les talents de Belhanda. Plus sérieusement, rappelons que les accidents mortels de la route ont augmenté de 11,6% l’an passé au Maroc.

Coopération. La Syrie au PJD. Benkirane et El Othmani ont reçu en grande pompe une délégation syrienne dans les locaux du parti, à Rabat. Une réunion qui a servi à montrer le soutien du Maroc, et des cadres du PJD, à la révolution contre le régime de Bachar.

Grèce. A poil face à la crise. En Grèce, la détresse est telle que les forces de l’ordre volent les chemises des manifestants. Espérons que le nouveau plan de sauvetage convenu par les pays de la zone Euro mettra fin à ces actes de barbarie.

OFPPT. Promenons-nous sur les toits. Une centaine d’individus, dont des syndicalistes de l’UGTM, ont forcé l’entrée de l’OFPPT à Casablanca par la force menaçant même de se jeter du toit ! Au centre du scandale, un problème de concours.

Carnaval. Le couple du siècle. Qui a dit que le carnaval de Rio était le plus sexy du monde ? Les carnavaliers de Düsseldorf, en Allemagne, proposent cette année leur vision du couple Merkozy. Plus glamour, plus souriant, celui-ci sauvera à coup sûr l’Europe de la crise !

Honduras. Tout feu tout flamme. A Tegucigalpa, la capitale du Honduras, les incendies spectaculaires se suivent et se ressemblent. Quatre jours plus tôt, c’était une prison qui prenait feu, emportant la vie de 359 détenus. Le courage des pompiers honduriens est soumis à rude épreuve.

Afghanistan. L’effet Kaboul de neige. L’hiver est rude cette année en Afghanistan. Le froid a déjà fait 40  morts, notamment dans les camps de réfugiés où les conditions de vie restent précaires. Ceux qui ont fui le sud du pays devant les talibans sont particulièrement vulnérables.